Une publicité émouvante par Volvo

La nouvelle publicité par la marque automobile Volvo a voulu toucher ses consommateurs de manière plus humaines et plus émouvantes. Toutes les publicités de marques automobiles montrent uniquement un beau paysage, une belle voiture, une belle fille ou un bel homme au volant et la sensation que l’on est « censé » avoir. Volvo a, cette fois-ci, vu les choses en grand.

On est toujours ravi et satisfait de voir une publicité qui se démarque des classiques et qui peut à la fois nous sensibiliser. Volvo a réussi son pari. Une publicité qui se démarque de ses concurrents et qui attire l’attention sur les dangers de la route.

Imaginé par Forsman & Bodenfors, une agence de publicité suédoise, le spot veut montrer que Volvo est une révolution pour éviter tout accidents et que la vie est plus sûre au volant d’une Volvo.

L’histoire

Intitulé « Moments », la vidéo raconte l’histoire d’une petite fille qui va à l’école pour la première fois et imagine sa vie future.

On se demande ainsi quel va être la chute de cette vidéo, quel est le rapport avec la voiture mise en scène en opposé à la petite fille. On peut supposer qu’il s’agit d’une vidéo de la sécurité routière, qu’il va y avoir une fin tragique. Mais tout le contraire se passe, ce qui rend la vidéo encore plus poignante et émouvante.

Cette vidéo nous offre de sublimes paysages et des plans à couper le souffle. Elle nous embarque durant 3 min à travers les yeux d’un enfant imaginant un magnifique avenir pour elle.

Une accroche pertinente

La phrase d’accroche “Sometimes the moments that never happen matter the most” (Parfois les moments qui n’arrivent jamais sont les plus importants) est très bien trouvée et nous rappelle qu’un accident est et sera toujours un événement tragique.

Aucune image choc n’est montrée lors de ce spot et pourtant, on se rend compte de la nécessité d’être prudent sur la route. Et la nécessité d’acheter une Volvo pour éviter ce genre d’accident.

La vidéo en intégralité ici.

Le mot « Pro » chez Apple a enfin du sens

Le titre est un peu racoleur, j’en conviens, mais pour moi il a du sens.
Explications :

La semaine dernière a eu lieu la WWDC d’Apple (Worldwide Developers Conference).
Cette conférence, d’abord destinée aux développeurs, à permis à Apple d’introduire le nouvel iPad Pro et d’en faire le support pour la nouvelle version d’iOS.

Avant cette annonce, je dois l’avouer, je considérais l’utilisation du mot « Pro » chez Apple comme du marketing.
J’avais vraiment du mal à comprendre la gamme entre les versions dites pros et les versions standards. (à l’exception du stylet et du prix)
J’avais même conseillé l’année dernière à Coralie, l’achat d’une Surface Pro de Microsoft, tellement l’iPad était pour moi un très bon outil de divertissement, mais pas de production.
Mais depuis la conférence, le nouvel iPad Pro couplet avec iOS 11 m’ont provoqué un « Waouh » que je n’avais pas ressenti depuis longtemps.

En vrac, les points « Pro » introduits par ce nouveau paradigme :

– Un système de prise de note au stylet efficace, complet et extrêmement productif.
– Un système de navigation de fichiers qui prend en compte les autres acteurs du monde cloud (Google, Amazon, Microsoft, DropBox…)
– Un temps de latence réduit entre le moment où l’on pose le stylet sur la tablette et le moment où l’iPad enregistre le mouvement (20 millisecondes soit 0,02 seconde)
– Un appareil photo identique à celui de l’iPhone 7 (enfin !) et qui intègre un scanner de document
– Une application de capture d’écran incroyablement complète

La nouvelle fonction de prise de note est simplement efficace et on y accède dès la page d’identification. (comme pour l’appareil photo)
Pour résumer, le temps de sortir l’iPad et on rédige son mémo comme avec un bloc note.

Le système de navigation de fichiers est l’Évènement sur iOS (avec un grand E). En effet, avec son iPad on va enfin pouvoir créer des dossiers, ranger ses fichiers, leur donner des tags, des commentaires…
Bref, en un mot comme en cent, être productif.
Le système de fichiers peut se présenter comme une fenêtre occupant une bande sur le bord de l’écran et cette précision est très importante.
En effet, iOS gère maintenant le glisser / déposer.
Donc, on rédige un mail et par glisser / déposer on sélectionne sa pièce jointe et on l’insère dans son mail.
Petit chapelet de cerise sur le gâteau, le système fonctionne avec les autres grands acteurs du cloud. Vous avez 5 Go de fichiers sur DropBox ? Vous les retrouvez nativement sur votre iPad.

En ce qui concerne l’appareil photo, imaginez un professionnel du bâtiment qui est en réunion de chantier.
Il prend avec son iPad une photo de bonne qualité (les anciens iPad avaient une notion toute relative de la bonne qualité photographique) et avec son stylet il peut instantanément annoter la photo, reporter des côtes… Et envoyer tout ça par mail.
De plus, la fonction de scanner de document est pratique, vous photographiez un document posé sur une table (sans se tordre dans tous les sens pour être à l’aplomb du document) et nativement, l’application vous transforme la photo en un document scanner… Comme au bureau.

Ce qui m’amène à conclure que cette dénomination « PRO » signifie enfin quelque chose et (désolé Coralie) je peux enfin conseillé cet iPad aux professionnels qui ont des besoins plus nomades que sédentaires.

 

Et le prix vis à vis de la Surface ?

Et bien c’est là où je tombe de la chaise.
Pour être parfaitement honnête, c’est délicat de comparer la Surface Pro avec l’iPad Pro et ça n’a même très peu de sens.
C’est comme comparer une citadine essence avec une berline diesel. Ça reste des voitures, mais la nuance fait la différence.

Ici c’est un peu la même chose, mais essayons :

La Surface Pro dispose d’un écran de 12,3 pouces, on va donc la comparer avec l’iPad Pro 12,9 pouces.
Et c’est à peu près le seul point commun entre les deux machines.
Chez Apple la version 64 Go est à 909€ et la version 256Go à 1 009€
Chez Microsoft en prenant la configuration intermédiaire (Intel i5), la version 128 Go est à 1 149€.
(Les prix sont sans les accessoires : Stylet, clavier, etc)

Cela ne veut pas dire que la Surface Pro de Microsoft est à bannir, loin de là et c’est une très bonne machine, mais Apple a vraiment cette fois son arme professionnelle prête à conquérir les Pros qui travaillent avec leurs outils. (C’est 100% provoc, 100% assumé)

Il faut maintenant attendre les tests complets de la part des blogueurs et des sites spécialisés, mais je l’avoue, je suis enthousiaste…
Ma banquière moins !

Une petite information sur ma bio, je suis utilisateur Apple depuis 1991 et depuis, je suis régulièrement l’actualité autour de la pomme numérique.

Nouveau clavier français, AZERTY ou BEPO ?

Le mercredi 7 juin s’est ouvert une enquête publique par l’Association Française de Normalisation (AFNOR) concernant une modernisation du clavier AZERTY. Ce dernier ne serait, en effet, pas adapté pour l’écriture française. L’association propose ainsi deux versions rénovées du clavier. Ces deux propositions sont soumises à l’avis des internautes pour choisir leur préférence. L’AFNOR n’a qu’un seul objectif : moderniser le clavier AZERTY pour le rendre plus simple d’utilisation.

Problème du clavier AZERTY

Apparu au XIXème siècle, les premiers essais du clavier AZERTY ont été réalisés sur des secrétaires en 1865. Sa disposition remonte au temps des machines à écrire. Ces caractères disposés en décalés permettaient de ne pas s’emmêler dans les touches lorsqu’on tapait. Depuis plus d’un siècle, la disposition des touches n’a pas changer pour ne pas perturber le public.

Cependant, aujourd’hui, le clavier AZERTY fait office de « vieillerie » et mériterait un dépoussiérage, Non seulement pour l’emplacement des lettres mais aussi pour éviter les nombreuses fautes que l’on peut faire en frappant.

« Il est dès lors presque impossible d’écrire en français correctement avec un clavier commercialisé en France » déclaré en janvier 2016 sur le site du Ministère de la Culture.

Il est vrai que ce clavier n’a pas été conçu pour permettre un accès rapide au arobase, aux chiffres ou même au point qui demande la présence de la touche Maj. S’ajout également une multitude de symboles absents dans le clavier AZERTY comme des chiffres exposants, des symboles monétaires ou encore des langues officielles de l’Union Européenne.

« Les claviers AZERTY que l’on a en France gomment les langues régionales et européennes. On ne peut pas écrire de noms en allemand ni en espagnol alors que les claviers allemands permettent d’écrire des noms français ».

Cependant, ces claviers sont utilisés par des millions de français qui ont déjà pris l’habitude de manier ces touches très rapidement.

« On ne prévoit pas de retirer le clavier AZERTY aux Français. Il y a en réalité peu d’exemples de pays qui changent radicalement de clavier », rappelle Philippe Magnabosco, chef de projet de l’AFNOR « il faut une solution qui complète, pas forcément qui bouleverse ».

Bépo ou Dvorak ? Quelles différences ?

Mais en France, une communauté milite pour la changement de disposition de clavier qui serait totalement différente que celle de l’AZERTY. Pour eux, le Bépo est le seul clavier français qui peut exister.

Le Bépo tire son nom des premières lettres qui le composent. Ce clavier a été conçu pour taper plus aisément chaque caractères utilisés en français. Il réduit aussi les mouvements de la main en répartissant les touches à l’aide d’un algorithme utilisant des statistiques lexicales.

Les lettres les plus fréquentes sont placées sur la rangée de repos ce qui permet de limiter les efforts et donc la fatigue musculaire. La frappe devient plus confortable ce qui réduit les risques de troubles musculo-squelettiques.

Le Bépo est inspiré de la disposition Dvorak, méthode utilisée dans les années 1930 par August Dvorak lui-même pour rendre le clavier ergonomique. Il permet également diviser par deux les déplacements des doigts par rapport à la disposition traditionnelle AZERTY ou QWERTY.

Le Dvorak serait l’amélioration du QWERTY et comporte les mêmes avantages que le Bépo. C’est-à-dire un plus grand confort, moins de fatigue musculaire, une diminution des fautes de frappes et une vitesse de frappe supérieure. L’apprentissage est également plus rapide contrairement aux claviers traditionnels.

Les « nouveaux » claviers français

Après plusieurs mois de travail, l’AFNOR dévoile enfin deux « nouveaux » claviers français pour limiter la gymnastique digitale que l’on exerce :

  • Le clavier AZERTY amélioré (sans doute l’option la plus rassurante et la plus confortable pour les habitués).

« Les 26 lettres de l’alphabet et les chiffres ne changent pas de place, contrairement à certains autres signes tels que certaines voyelles accentuées, l’arobase, les accolades… Le point devient accessible sans passer par la touche majuscule. Les majuscules accentuées sont aussi rendues possibles. La palette des signes typographiques est élargie, pour faciliter la création sans pour autant recourir à des logiciels professionnels ».

Philippe Magnabosco a précisé : « Il n’y a pas de révolution, mais une petite appropriation sera nécessaire pour les utilisateurs. Pour autant, les bénéfices attendus compensent largement les quelques changements à intégrer. »

Voici d’ailleurs ce à quoi pourrait ressembler ce clavier.

  • Le clavier Pébo.

 

Pour la seconde option, il s’agit d’un clavier Bépo légèrement modifié. Il existe déjà de nombreux claviers Bépo. Beaucoup affirment qu’il s’agit de la disposition des touches la plus logique qu’il existe actuellement pour la langue française. La contrepartie, c’est qu’il faut intégralement réapprendre à écrire sur un clavier.

L’AFNOR a rendu publique ces enquêtes pour permettre aux personnes intéressées de laisser leur avis sur ces deux clavier. Il suffit de laisser un commentaire en cliquant ici.

Cependant, l’association a tenu à préciser que les deux claviers seront retenus. Ces derniers affirment qu’ils ne veulent pas imposer un choix fixe aux Français.

De nombreux internautes ont laissé leur avis sur les deux claviers en compétition. Beaucoup d’entre eux affirment que le Bépo est très pratique. Mais cela obligerai les utilisateurs à changer leur manière de taper et un certain temps d’adaptation. L’AZERTY modifié n’est pas non plus une extrême évolution du clavier mais peut néanmoins être moins effrayante que le Bépo.

 

Le phishing : comment le détecter ?

Chaque jour, plus de 70 adresses mails sont impliquées dans des tentatives de phishing. (appelé aussi hameçonnage) La France est le deuxième pays le plus visé au monde (une attaque sur dix en moyenne). 30 000 sites ou adresses URL on été bloqués l’an dernier en France.

Qu’est-ce que le phishing ?

Le phishing (nommé aussi hameçonnage ou filoutage) est un technique de fraude utilisé par des escrocs pour tenter d’accaparer vos données personnelles.

Ces derniers font croire à leurs victimes via un mail qu’elles s’adressent à une grande entreprise (Bouygues, PayPal etc.) pour leur soutirer des informations spécifiques et prendre possession de leurs biens et de leurs identités. (mot de passe, numéro de carte de crédit etc.)

Comment le reconnaître ?

Les messages sont envoyés sur les boîtes mails et demandent généralement une confirmation de compte ou de payer une certaine somme sous peine de dédommagement.  Vous êtes alors redirigé vers un faux site où vous devez rentrer vos informations de compte et en résulte un vol d’identité.

Effectivement, les cibles les plus courantes sont les services bancaires en ligne, les sites de ventes tels que E-Bay ou encore le système de paiement PayPal.

On peut répertorier quelques indices pour détecter un phishing rapidement.

  • Le message comporte une URL bizarre

Parfois l’URL est valable, cependant si vous passez votre souris sur l’adresse, celle-ci devrait être similaire à celle du lien hypertexte. Si cette dernière est différente, il y a de forte chance que le message soit une arnaque.

  • Les URL contiennent un nom de domaine trompeur

Si le nom du domaine apparaît à la fin de l’adresse URL, le site est officiel et donc fiable. (ex : office.microsoft.com est un « enfant » de microsoft.com)

Or, si le nom de domaine apparaît au début de l’adresse URL comme ici : microsoft.com32.info, il s’agit d’un faux nom de domaine.

ATTENTION : le nom de domaine microsoft.com32.info existe vraiment et il s’agit réellement d’une arnaque.

  • Le mail contient des fautes d’orthographe et de grammaire

Une grande entreprise est toujours très pointilleuse en terme de fautes d’orthographe. Tous les messages envoyés sont vérifiés au niveau de la grammaire, de l’orthographe et de la légalité. Si vous recevez un message (ou mails) comportant des fautes d’orthographe, celui-ci n’a pu être envoyé d’une grande société surtout si celle-ci réclame de l’argent.

  • Le message vous demande des informations personnelles

Votre banque n’a pas besoin de vous contacter par mail pour connaître votre numéro de compte. Celui-ci est déjà répertorier dans les données bancaires de votre conseiller. De même, une grande entreprise également ne vous demandera jamais votre mot de passe ou votre numéro de carte de crédit par mail.

  • On vous demande d’envoyer de l’argent pour payer des frais

C’est l’un des signes les plus révélateurs pour savoir si c’est une tentative de phishing. En effet, il est possible que les escrocs viennent vous demander de l’argent tôt ou tard soit disant pour payer des frais, des taxes ou même des redevances.

Que faire en cas d’usurpation d’identité ?

  • Contactez au plus vite le service relations clients ou votre conseiller bancaire. Il réinitialisera vos codes de banque à distance.
  • Surveillez votre compte en banque. En cas de débit frauduleux, faites opposition auprès de votre banque et déposez plainte à la police.
  • Lorsque vous saisissez des informations sensibles, assurez-vous que le navigateur est en mode sécurisé. C‘est-à-dire que l’adresse dans la barre du navigateur commence par https avec un cadenas vert est affiché dans la barre d’état, et que le domaine du site dans l’adresse correspond bien à celui annoncé (gare à l’orthographe du domaine) !

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Actualités et tendance de la semaine en bref

Retrouvez l’actualité de la semaine en bref ainsi que toutes les nouvelles tendances et les nouveaux évènements du moment dans cet article. Composé de 3 articles les plus marquants et les plus intéressants de la semaine !

Actualité 1:

Netflix VS Festival de Cannes

Deux nouveaux participants pour la compétition officielle font leur entrée sur le tapis rouge du festival de Cannes 2017. « Okja » réalisé  par Bong Joon-ho et  «the Meyerowitz stories» par Noah Baumbach.

Contrairement aux autres films en compétition, ces derniers ont été financés par la société américaine Netflix. Cette plateforme de vidéo à la demande refuse de faire sortir ces deux films en salles suite à des réglementations particulières de la part du site. Cependant, cela ne respecte pas la chronologie des médias qui impose en France un délai de quatre mois minimum entre le sortie en salles et la sortie en vidéo.

Aucun accord n’a pu être trouvé entre le festival et Netflix qui refuse la sortie en salles de ces deux films et seront uniquement diffusés aux abonnés de la plateforme de vidéo à la demande.C’est un véritable retournement de situation pour le Festival de Cannes qui reste conscient de l’inquiétude suscitée par l’absence de sortie en salles de ces deux œuvres cinématographiques. Même si la fédération nationale des cinémas ont appelé à une clarification rapide, Netflix ne change pas moins d’avis et refuse tout de même leurs sorties dans les salles françaises.

Une nouvelle règle pour 2018

Malgré l’absence d’accord, les deux films sont maintenus en compétition au festival de Cannes mais impose une nouvelle règle à partir de 2018 pour tous les films en compétition :

« Dorénavant, tout film qui souhaitera concourir en compétition à Cannes devra préalablement s’engager à être distribué dans les salles françaises. Cette nouvelle disposition s’appliquera dès l’édition 2018 du Festival International du Film de Cannes ».

En effet, on se rend compte que 2000 films sont envoyés chaque année à Cannes et seulement 500 d’entre-eux sortent dans les salles françaises sur la même période.

L’annonce de la sélection de « Okja » et the Meyerowitz Stories » à également permis l’annonce de leur sortie sur Netflix, le 28 juin pour le premier et une date ultérieure pour le second.

Même si la FNCF (Fédération Nationale des Cinémas Français) conteste ce choix et affirme le contournement de la réglementation française fait par Netflix, le site de streaming ne change pas moins d’avis sur le festival de Cannes qui doit avant tout « célébrer les arts ».

« Cette réglementation permet de donner à une œuvre le temps d’exister et les moyens de se financer », estime le producteur Alain Rocca.

Actualité 2

La toupie version 2.0 qui ne te quittera plus

Tout le monde ne parle plus que de ça: une petite toupie que tu fais tourner en équilibre sur tes doigts. Rien de plus inutile que ce jouet mais pourtant très divertissant et satisfaisant ! Tellement divertissant que de nombreux magasins sont en rupture de stock.

C’est devenu un phénomène de mode en quelques semaines et les petits comme les grands ne peuvent plus se passer de cet engin. Le Spinner est devenu une véritable tendance à travers le monde.

Cet accessoire est né aux États-Unis dans les années 90 et connaît un succès que 27 ans plus tard. Et pourtant, la créatrice américaine qui, au départ a créé son produit pour sa fille atteinte de troubles musculaires n’a fait aucun bénéfices avec son invention puisqu’elle a laissé tomber le brevet.

« J’ai commencé à assembler des choses ensemble avec du journal et du scotch (…) ce n’était même pas un début de prototype », annonce la mère de famille

Pourquoi un tel succès ?

Beaucoup de magasins de jouets tels que « La Grande Récré », « King Jouet » ou encore « Jouet Club » ont refusé la vente de ce jouet qu’ils considéraient comme inutile et sans intérêt. Beaucoup de consommateurs se demandent d’ailleurs à quoi ce jouet peut servir dans la vie de tous les jours. Mais son inventrice affirme que son innovation aurait des vertus antistress. Ce petit jouet peut en effet apaiser les personnes hyperactives ou en excès de stress.

Tout le monde aime tripoter un petit objet entre ses mains comme des stylos, des gommes etc… Ce petit accessoire tendance qui tourne sur nos doigts donne un sentiment de satisfaction aux petits comme aux grands.   Le hand spinner est même utilisé par des enfants ayant des troubles obsessionnels du comportement, de façon à canaliser leur énergie.

Actualité 3

La réalité virtuelle, une nouvelle thérapie

La réalité virtuelle, nouvelle plateforme de jeux vidéos qui immergent la personne dans le jeu grâce à son casque de réalité virtuelle, pourraient remplacer la morphine dans le domaine médicale. En effet, certaines personnes souffrant de douleur chronique peuvent être soulagés par des jeux de réalité virtuelle donnant aux patients l’impression d’être en totale connexion avec le jeu.

Comment ça marche ?

Les animations sont diffusées par un casque de réalité virtuelle relié à des biocapteurs, servant pour l’interactivité mais également pour contrôler les réponses du corps et du cerveau aux images.

On constate qu’un grand nombre de personnes dans le monde (80% de la population mondiale) souffriraient de dépendance face aux médicaments antidouleurs. Cette nouvelle pratique pourrait sans aucun doute résoudre ce problème de dépendance et faire oublier la douleur aux patients. La réalité virtuelle va permettre une « immersion » dans le jeu vidéo et devient un endroit où l’on est présents et non quelque chose que l’on regarde.

La société Firsthand Technology a développé une sorte de jeu baptisé SnowWorld avec lequel il a soulagé la douleur de patients pendant qu’ils subissaient des soins (douloureux) pour les brûlures. La réduction des douleurs étaient supérieures de 50% par rapport à d’autres médicaments comme la morphine.

D’autres tests on été fait sur une quarantaine de patients souffrant de douleurs chroniques et tous ont été satisfaits des résultats puisqu’ils n’ont signalés aucune douleur.

« Dans l’ensemble, les patients ont signalé que leur douleur a diminué de 60 à 75% tandis que la meilleure de la morphine est de 30% », explique l’article de mosaicscience.com

Grâce à ces nombreux tests, la réalité virtuelle montre plus de résultats.

« Cela attire votre attention. Vous mettez le casque et vous êtes parti »

Bien entendu, ces travaux n’en sont qu’à leurs débuts. Mais les chercheurs semblent très optimistes.

A quoi sert-il ?

Le casque de réalité virtuelle peut être utile pour les personnes souffrant de phobies. Ils exposent les patients aux environnements qui peuvent être problématique dans leur quotidien. Ou encore pour les syndrome post-traumatique, les anciens combattants sont exposés à des scènes semblables à celles de leur traumatismes. Ils peuvent ainsi affronter leur angoisses suscités lors de leur combat et supporter des visions qui pourraient provoquer chez eux un comportement destructeur.