Actualités de la semaine : Cannes Lions et Nike et leurs avatars

Retrouvez dans cet article les actualités qui ont le plus marqué cette semaine dans le domaine du digital et de la communication. Les agences françaises primées à Cannes Lions et Nike qui propose de courir contre (ou avec) son propre avatar.

Cannes Lions, un bon départ pour les agences françaises

La cérémonie des Cannes Lions qui rassemble chaque année des agences de publicité du monde entier a cette année débuté le 19 juin 2017. Il permet de juger la créativité de chaque agence face au marché publicitaire.

C’est d’abord l’agence BETC Paris qui remporte le plus de trophées pour cette édition 2017. Elle prend la tête du classement des agences françaises avec 9 récompenses (huit Lions, dont 3 Gold et 3 Silver). En effet, ces récompenses sont dû notamment à la campagne « like my addiction » pour Addict Aide. Dans cette publicité, l’agence a voulu transposer cette addiction sur les réseaux sociaux. Il est en effet simple de passer à coté de l’addiction d’un proche en particulier sur les réseaux sociaux.

Il montre dans ce spot le compte de Louise Delage qui semble avoir une addiction à l’alcool en postant des photos d’elle avec des verres ou des bouteilles à la main. Pendant un mois et demi, on peut suivre les aventures de Louise qui semble être une jeune étudiante de 25 ans tout à fait ordinaire et qui profite pleinement de sa vie. Personne ne se doute à première vue de son addiction à l’alcool.

« A la manière d’artistes performeurs qui se mettent en scène dans leur œuvre et travestissent leur identité, une étudiante en histoire de l’art est devenue Louise Delage pour quelques semaines »,dit Stéphane Xiberras, Président de BETC Paris.

C’est une première pour une association d’utiliser Instagram. Leur but étant de « suivre » un individu dans son quotidien de son addiction, à des fins mobilisatrices. L’agence BETC à su être originale pour le compte d’Addict Aide.

La vidéo de la campagne est disponible ici.

Nike, courir contre son propre avatar

Nike décide de voir les choses en grand. Pour le lancement de leur nouvelle chaussure de running Lunar Epic, l’entreprise a décidé de créer à Singapour une piste version 3.0 de running digitale : l‘Unlimited Stadium. Il permet aux coureurs de courir contre un avatar créé par leur propre performance.

L’avatar se matérialise sur le mur digital qui borde la piste lors du premier tour de piste pour tenter de battre leur temps du tour précédent. Une opération évènementielle de plus en plus extraordinaire et qui peut même donner envie à de jeunes débutants de commencer la course à pied.

Le but étant de vendre leur nouveau modèle, les participants doivent d’abord les enfiler avec un capteur présent sur la chaussure pour collecter leurs données de course. C’est comme une course contre-la-montre mais dans le monde réel, tout en faisant du sport. C’est une révolution tant sur le plan culturel que sur le plan technologique. Il permet à chacun de dépasser ses propres limites et d’apprécier la course.

De plus, Nike réussit à se démarquer de ses concurrents en rendant un stade interactif, ludique mais surtout connecté. Pour la marque, il ne suffit pas uniquement de vendre des produits, il faut les aimer et aimer les utiliser. Nike nous invite ici à courir autrement, de manière plus performante et permettre d’affronter ses propres performances.

Cette opération évènementielle a même remporter un prix aux Cannes Lions 2017.

Vous pouvez retrouver le spot publicitaire ici

 

 

 

 

Les applications mobiles, des chiffres pas si surprenants

Les applications sur smartphones, aujourd’hui, rythment notre quotidien. Elles nous sont utiles pour regarder les actualités, lire nos messages, checker nos rendez-vous etc, etc… Mais on ne nous parle pas suffisamment des chiffres : du nombre d’applications que l’on utilise par jour ou encore le nombre de personnes qui consultent leurs applications. L’effectif est impressionnant certes, mais quand on y réfléchit, on se rend compte qu’elles sont devenus un véritable outil de communication et de divertissement.

Tout d’abord, on compte plus de 2 milliards d’utilisateurs de smartphones dans le monde. En sachant qu’on est 7 milliards sur terre, la somme est plutôt effrayante finalement.

En France, on est plus de 30 millions à posséder des smartphones soit plus de la moitié de la population française âgée de 11 ans. Il y avait déjà 21 millions de personnes qui étaient pourvus d’un téléphone portable en 2013. De nombreuses statistiques ont également révélées qu’à partir de 2019, on dépasserait les 41 millions d’utilisateurs !

On remarque que le monde est devenu hyperconnectés. Même les plus jeunes peuvent désormais se munir d’un téléphone portable et le gérer tout aussi facilement que quelqu’un qui est né durant l’évolution du téléphone. Et les applications ne font qu’augmenter le nombre d’utilisateurs.

Plus de 2,6 millions d’applications

A l’ouverture de l’Apple Store par Steve Jobs en 2008, l’AppStore ne comptait que 500 applications. Aujourd’hui Apple détient 1,2 millions d’applications. Le Play Store en contient 1,3 millions et le Windows Phone Store seulement 300 000 (on ne peut pas leur en vouloir). On pourrait presque considérer les applications comme les nouvelles meilleures amies de l’Homme. Elles nous accompagnent au quotidien, nous aide à gérer notre budget, notre planning, nous réconforte musicalement et j’en passe…

Mais avec toutes ces applications, 25% d’entres elles ne sont jamais utilisées, et 26% des applications installées sont abandonnées après la première utilisation.

Pour y voir plus clair encore, voici un petit top 5 des chiffres à connaître sur les applications de smartphones

  • Les utilisateurs consacrent 90% de leurs temps aux applications. (en comparaison avec le web mobile)
  • Les utilisateurs téléchargent en moyenne 8,8 applications par mois.
  • 150 millions d’applications sont téléchargées chaque jour.
  • Le temps moyen passé sur son mobile chaque jour est de 2h27 .
  • 84% des internautes surfent quasi-quotidiennement sur leurs smartphones.

Au niveau du chiffre d’affaire ?

C’est là que les chiffres sont les plus surprenants. Selon Gartner (entreprise américaine de conseil et de recherche dans le domaine des techniques avancées), ils veulent faire des applications l’un des vecteurs de communication les plus importants dans le monde. En 2013, il y a eu déjà 26 milliards de dollars de chiffres d’affaires et visent 77 milliards en 2017. Il devrait atteindre les 101 milliards de dollars à l’horizon 2020.

Finalement,

Les applications nous aident à améliorer notre quotidien et sont au finales bien utiles. Les notifications par exemple qui permettent d’être toujours connectés en permanence et ne rien louper de l’actualité. Le monde est bien différent désormais de celui d’il y a 30 ans. Certains pourront en effet penser que l’on est considéré comme des assistés dans la vie de tous les jours : toujours avoir le nez dans nos applications. Ils ont raison, ces applications nous tuent petit à petit, notamment notre cerveau et notre cortex préfrontal à toujours être sur un écran.

Même si les applications réussissent à lier utile et agréable, on n’en oublie pas moins les conséquences que cela peut engendrer sur le corps humain, notamment le phénomène d’hyperconnexion. C’est un domaine qui est certes en pleine expansion mais on ne se rend pas toujours compte de risque qu’il peut y avoir par la suite. (je n’en reste pas moins une mordue des applications)

 

 

 

 

 

Transition numérique… On en parle.

On en parle, beaucoup, trop diront certains. Mais de quoi s’agit-il ?

Nos sociétés ont connu deux grands bouleversements, la révolution industrielle (mécanisation de l’outil de production) et aujourd’hui, c’est la transition numérique.
L’ensemble des métiers connus sont aujourd’hui fortement impactés par cette transition. (le service à la personne, la grande distribution, l’artisanat, etc.)

Mais de quoi s’agit-il concrètement, même pour un professionnel qui ne se sentirait pas concerné ?

Le plus simple, serait de regarder une facturette (oui, celle que l’on tient dans la main et qui nous permet de griffonner un numéro de téléphone sur le verso) et de la considérer comme une longue suite de 0 et de 1 stockée quelque part dans une machine.
On peut même dire que la version papier de cette facturette n’est que la représentation humaine (compréhensible pour nous) de cette suite numérique qui est en réalité l’original.
Et elle est bien là, la transition.
Avant, l’original était le papier (identité, devis, facture, fiche de paye…) et aujourd’hui il est numérique.

Les entreprises ont toujours eu besoin et même avaient pour obligation, de conserver les originaux. (les fameuses archives avec leurs pièces sombres et mal ventilées, la bête noire des administratifs)
Aujourd’hui, c’est l’ordinateur, pivot de nos vies, qui fait office de salle d’archives.
Cela signifie que cette minuscule boîte électronique nous sert, à produire, à communiquer, à s’informer, à se divertir, à consommer et à archiver.

En relisant cette dernière phrase, on se rend compte qu’au vu des tâches et des missions confiées à l’informatique, il serait plus que judicieux de se pencher quelques instants sur l’archivage qui se transforme (sur le plan lexical) en sauvegarde.

Aujourd’hui, nous accompagnons nos clients vers une gestion simple de leurs sauvegardes, car il n’existe pas de solution universelle.
Chaque typologie d’entreprise à son besoin de sauvegarde (et son budget).

Nous pouvons mettre en place des systèmes de doubles sauvegardes dont une externe, au local de l’entreprise pour sécuriser les données en cas de vol, incendie, inondation…
D’ailleurs, en fonction de l’activité, certaines compagnies d’assurance demandent la mise en place de ce genre de sauvegarde.

Il est même possible de mettre en place des sauvegardes incrémentales.
En français, cela signifie qu’il est possible de retrouver la version d’un document dans le temps même si celui-ci a été modifié et enregistré à plusieurs reprises.

Je terminerais en disant pensez-y et discutons-en, car comme pour toute transition, au plus l’on tarde, au plus elle sera difficile et délicate à mettre en place.

Au fait, comme il fait chaud actuellement, pensez à vos ordinateurs.
Pour éviter un drame estival, un petit coup de nettoyage des ventilateurs est plus que bienvenue.

Et si vous souhaitez une maintenance de votre cher et tendre (ordinateur, hein!)Contactez-nous !

Top 3 des actualités de la semaine

 

Retrouvez les 3 meilleures actualités qui se sont déroulés la semaine précédente en bref. Juste pour avoir l’essentiel des informations en peu de temps de lecture !

Le monde… sans applications… selon Apple

 

L’époque où les applications n’existaient pas, où les téléphones tactiles n’étaient réservés qu’aux riches, où le téléphone à clapet faisait sensation, où les enfants partaient jouer dehors au lieu de rester la tête baisssée sur leur téléphone est bien finie.
Pourtant, le monde n’était pas si nul que ça avant. On devait juste noter nos notes sur un cahier avec un stylo, avoir une carte pour se déplacer, rencontrer son/sa futur-e homme/femme au boulot ou par le biais de ses amis. On devait aussi prendre de quoi s’occuper dans les transports ou imprimer ses photos chez le développeur. Effectivement, c’était vivable mais… beaucoup, beaucoup moins pratique.

Apple a alors imaginé a quoi ressemblerait un monde sans toutes ces applications que nous utilisons depuis maintenant plusieurs années.

Dans cette vidéo de 3 minutes, on raconte l’histoire d’une nouvelle recrue embauché dans la salle des serveurs et va changer le monde en débranchant toutes les prises de la salle pour allumer sa fontaine électrique.

Ce post a été lancé à l’occasion de la World Wide Developers Conference (WWDC). Il a cependant pour but également de gonfler l’égo des développeurs. Ils doivent en effet continuer de créer des applications car « le monde dépend d’eux ».

Mais ce film montre également à quel point le monde est devenu accro à toutes ses applications. Ce spot nous montre une image totalement différente de la marque que celle que l’on connaît déjà.

Certes Apple n’en démord pas moins en affirmant que le monde dépend désormais de lui. (et de ses développeurs bien entendu)

Voici quelques images du spot pour montrer la véritable apocalypse créée par le manque d’applications.

D’ailleurs, il ne manque pas le fait de mettre en avant iBooks et iTunes dans l’un de leurs plans.

Retrouvez la vidéo intégrale ici

A 1O ans, il a déjà conçu 5 applications

La conférence d’Apple dédié aux développeurs qui s’est déroulé en début de semaine a rassemblé plus de 5000 développeurs internationaux. Le plus jeune d’entre eux est âgé de 10 ans. Yuma Soerianto est jeune développeur australien qui est un véritable génie dans son domaine. Passionné par le codage, a 6 ans il décide d’apprendre à coder à l’école parce qu’il s’ennuyait. C’est devenu un véritable maître de ce domaine.

« J’aime programmer des pages web. Mais comme tout le monde dispose d’un smartphone, j’ai donc voulu apprendre à créer des applications mobiles. J’ai pu créer des choses très divertissantes sur l’iPhone, comme des jeux ! »

Il a créé 5 applications présentes sur l’App Store à savoir Lets Stack! (le plus populaire, un jeu qui permet d’empiler des boîtes), Hunger Button (une application qui permet de trouver des restaurants spécifiques près de chez soi), Kid Calculator, Weather Duck et Pocket Poké. Le jeune garçon n’est d’ailleurs pas passé inaperçu lors du WWDC, le CEO de Apple a tenu à le rencontrer et a évoqué son cas, à l’ouverture de la conférence.

Le jeune garçon, ne se contente pas de créer des applications reclus sur lui-même, il a au contraire créé un canal sur YouTube pour permettre à d’autres personnes de se lancer dans l’aventure, baptisé: Anyone can code.

Super Nintendo World : le nouveau parc d’attractions

 L’an dernier, Nintendo et Universal Parks & Resort annonçaient la création d’un Super Nintendo World, un parc d’attraction dédié à l’univers de Super Mario et ses amis. Mieux encore, ce sont au total trois univers à thème Nintendo qui seront proposés dans le monde, via Universal Studios Japan, Universal Orlando Resort et enfin Universal Studios Hollywood.

A travers ce parc, les équipes responsables de la création veulent faire vivre les personnages de Mario et de ses amis et retranscrire les aventures de Super Nintendo.

« Toutes les émotions-frissons, excitation, dépaysement – que vous éprouvez en jouant à travers un écran seront maintenant palpables avec une authenticité à vous couper le souffle ! »

Les décors seront fidèles aux univers imaginés dans les jeux vidéos. Une attraction Mario Kart sera également conçu ainsi que le château de la princesse Peach et celui de l’infâme Bowser. Tout sera pensé de telle sorte à ce que le parc emmène les spectateurs dans l’univers du jeu vidéo Mario.

Cependant, ce parc n’a pas prévu d’ouverture avant 2020. Les travaux n’ont pas encore démarré malgré l’annonce des deux groupes. Les fans de Mario vont encore devoir attendre.

 

Instagram, le réseau social nocif pour le mental des jeunes

 

Instagram est un service de partage de photos et de vidéos créé en 2010 par un Américain et un Brésilien. Aujourd’hui l’application compte plus de 600 millions d’utilisateurs à travers le monde et est devenu un véritable phénomène de mode. Cette tendance attaque désormais les plus jeunes qui ont entre 11 et 14 ans en ne décrochant plus leur tablette ou leur téléphone.

L’application Instagram s’est rapidement développé et a beaucoup gagné en popularité. En 2012, le réseau comptait déjà 100 millions d’utilisateurs et 200 millions en 2014.

Pourquoi un tel succès ?

Aujourd’hui, l’application fait des ravages auprès des jeunes. De nombreuses stars sont présentes sur ce réseau et montrent leur corps retouchés ou encore leur ventre extra plat. Mais tout ceci n’est qu’illusoire. Leurs corps sont dessinés à l’aide de Photoshop mais beaucoup d’ados rêvent d’avoir ces formes qui pourtant dépassent le réel.

Cette application montre uniquement des vies idéalisées, des personnes qui se surestiment ou font croire qu’ils ont une meilleure vie que la nôtre alors que tout est retouchés et surfaits.

On en arrive à un point où la plupart des utilisatrices s’inventent une vie pour paraître plus cool et plus branché. La perfection est devenu une « norme » chez les jeunes. Cela ne reflète en rien une réalité mais plutôt une manipulation par l’image.

Cette mode « regarde ce que je fais, c’est dix fois mieux que toi » commence à prendre de plus en plus d’impact dans la vie des jeunes qui se remettent en question sur leur propre vie.

Voici une vidéo qui montre bien les photos mensongères d’Instagram qui peuvent parfois s’avérer dangereuses : cliquez ici 

Une étude sur les jeunes

Une étude Britannique a été réalisé sur plus de 1500 jeunes âgés entre 14 et 24 ans. Il affirme qu’Instagram est le pire réseau social pour l’image que l’on a de soi. Celui-ci développerait plus facilement la dépression et l’anxiété chez les jeunes dû au manque de confiance en soi. En plus de ça, scroller plus de deux heures par jour provoquerait un sentiment systématique de détresse psychologique chez les utilisatrices.

En voici quelques témoignages des personnes interrogées :

«  Instagram amène facilement les filles et les femmes à penser que leurs corps sont loin d’être suffisamment beaux puisque les gens utilisent des filtres et modifient leurs photos pour paraître « parfaits ». »

« Cela a augmenté mon niveau d’anxiété […] Je m’inquiète toujours de savoir ce que les autres pensent de mes publications et de mes photos. »

Pour faire face à cela, une instagrammeuse met régulièrement des photos « Instagram vs Reality » pour montrer les photos mensongères de ce réseau social. Cela peut permettre aux jeunes qui se sentent mal dans leur peau d’avoir une nouvelle estime de soi. De nombreuses personnes accros à Instagram ne peuvent s’empêcher d’envier les autres pour leur vie de luxe ou leur corps si (faussement) parfait.

Instagram ou Snapchat ?

Snapchat est également un réseau social qui est basé sur la vanité des utilisateurs et leur propre image. Il est considéré également comme un réseau social nuisible aux utilisateurs mais de manière moins violente qu’Instagram. En effet, on peut modifier ces photos ou même son corps pour ensuite les poster. Tandis que sur Snapchat, les photos sont publiés directement et peuvent difficilement être modifiées.

«il est intéressant de constater qu’Instagram et Snapchat remportent les moins bonnes notes concernant la santé et le bien-être mental. Les deux plateformes sont basées sur l’utilisation des images. Il semblerait qu’elles sont susceptibles de procurer un sentiment d’inadéquation et de l’anxiété aux jeunes», affirme Shirley Cramer.

Pour limiter les effets notoires sur le cerveau, les responsables de l’étude appellent les réseaux sociaux à afficher un pop-up aux personnes qui passent trop de temps sur les réseaux et limiter ainsi leurs effets. Ils peuvent ainsi identifier les internautes qui peuvent souffrir de troubles mentaux et leur venir en aide (discrètement).

Pour avoir plus d’informations sur le sujet, vous pouvez regarder sur le site de la RSPH qui montrera également le sondage réalisé.